Motifs de consultations
Anxiété, dépression, angoisses
Ces manifestations cliniques sont issues d’un conflit intrapsychique entre le Conscient et l’Inconscient en passant par le Subconscient
Troubles du sommeil
Le sommeil paradoxal rythme le sommeil profond et la chronobiologie.
Résolutions de conflits
Que ce soit un conflit familial, de couple, au sein de l’entreprise ou encore un conflit dans le cadre d’un dossier technico-juridique.
Périnatalité
La périnatalité est le domaine clinique qui s’intéresse à tout ce qui se passe autour de la naissance, de la création de la vie humaine.
La problématique sexuelle
Cette question est vaste, centrale à la profession. Elle englobe les choses et questions divers.
Dépendances
La dépendance ou trouble addictif est le désir puissant et permanent de continuer une consommation malgré toutes les complications qui existent et persistent.
Deuil, séparation, ruptures
Je voulais parler de la mort, mais la vie à fait irruption, comme d’habitude.
Pour votre psychanalyse pensez à la téléconsultation
Outil sécurisé avec un exercice maîtrisé de la téléconsultation :
Les nouvelles technologies de communication nous permettent de travailler à distance de façon efficace. Un ordinateur ou un téléphone, une couverture 4G suffisent. Que vous soyez loin de Paris ou quelque soit tout simplement les raisons qui font que vous ne pouvez-vous déplacer (transport, handicap etc…), la téléconsultation est aujourd’hui un moyen efficace pour faire une psychanalyse ou un travail de psychothérapie. Pour ce faire, il faudra positionner la caméra vers vous qui serez allongé au calme, sur le côté ou en trois-quart postérieur. Attention, pas de consultation sans image car celle-ci doit permettre à l’analyste de percevoir la communication non verbale qui accompagne votre discours.
Vous avez une question ?
On consulte pour toutes sortes de raisons et les chemins qui conduisent chez un psychanalyste sont tous très différents, mais en général, on commence une psychanalyse parce que ça va mal et qu’on se sent pris dans des difficultés insurmontables que l’on est incapable de résoudre seul. Il arrive que le patient ou plutôt l’analysant n’arrive pas à définir avec précision la nature et l’origine de ses difficultés et pourtant les symptômes sont là, il est empêché (inhibé) ou déprimé, il est sous le coup d’un traumatisme qui ne passe pas, il ne dort plus, il a des « idées » obsédantes ou encore, il est pris dans la répétition ou paralysé par l’angoisse ou la peur.
Le but de la psychanalyse est de libérer les patients des obstacles et des barrières réelles, symboliques et imaginaires qui les empêchent de vivre pleinement leur vie d’homme et de femme.
Elle a pour vocation de se rendre meilleur (c’est transitif), plus adapté, plus calme, plus intelligent ou plus sage et les gens qui ont fait une psychanalyse se sentent moins restreints et vivent plus en accord avec leur désir. C’est le constat que font souvent les patients. La plupart d’entre eux ont vu leur vie transformée par l’analyse, mais ils ne peuvent pour autant se dire « guéris » car dans cette praxis, ce ne sont pas des « affections » que l’on soigne comme une grippe mais bien souvent des névroses. Le changement qui s’opère n’est rien d’autre que la transformation existentielle du sujet.
Il faut essayer de choisir un psychanalyste que vous «sentez» bien et en qui vous avez confiance. Au moins au début du travail caril peut arriver qu’il y ait «fâcherie» lorsque l’analysant rencontre des difficultés, soit à dire des résistances. Et, s’entendre bien avec son analyste ne veut pas forcément dire être toujours en accord avec lui. L’analyse n’est pas un long fleuve tranquille. Il peut y avoir des difficultés, voire même des conflits. Et c’est d’ailleurs l’un des enjeux de la cure analytique que de travailler sur ces conflits et leurs origines. Ils doivent être analysés pendant la cure, dans le transfert.
l n’y a pas de norme dans l’analyse et donc pas de cure type. Jung prétend qu’il y a autant de types d’analyses que de patients, mais disons que pour la plupart des patients, après un certain temps, la cure prend fin, mais on ne peut pas dire que le travail de l’analyse cesse pour autant. Certains de ses effets ne sont manifestes que longtemps après la fin de la cure. La fin de l’analyse est un moment délicat, particulier et étrange. La réussite d’une analyse dépend en partie de la manière dont elle se termine. Et puis, certains analysants «passent», ils deviennent alors analyste et continuent toujours de pratiquer le divan. D’autres, n’arrêtent pas car c’est alors pour eux comme une hygiène de vie ; ils viennent 1 à 2 fois par mois, mais c’est très rare. Ma patiente la plus âgé à 78 ans. Elle a vécu 3 analystes. Elle est grand-mère de 15 petits enfants et de nombreux petits-enfants. C’est sans doute une psychanalyste qui a décidé de s’ignorer à ce niveau là. C’est une personne épatante et rayonnante, lumineuse.