La ligne dans le langage, c’est-à-dire dans le temps, est continuellement en danger de mort tout au long de son parcours. C’est une sorte de couloir du temps. C’est pourquoi « la topologie du temps » est à manipuler avec précaution car elle peut opérer dans l’inconscient des métamorphoses que certains ne peuvent supporter.
La ligne est faite de nœuds et dans notre perspective temporelle elle se referme sur elle-même. C’est un nœud trivial, un rond, dont les points constitutifs sont des nœuds si serrés qu’on ne les voit plus. Elle est éternel retour.